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Article publié le 20/02/2018

Space X : Elon Musk prévoit d’envoyer Marine Le Pen dans l’espace

Après avoir envoyé une Tesla dans l’espace, le bouillonnant entrepreneur américain d’origine sud-africaine, jamais à court d’idées folles, envisage désormais de mettre sur orbite la présidente du Front National, Marine Le Pen. Un projet d’envergure sur lequel il revient en exclusivité pour le Journal du Slip. 

De son propre aveu, c’est le projet le plus fou auquel il n’ait jamais pensé. Depuis plusieurs mois maintenant, le patron de Tesla et de Space X planche avec sa taskforce d’une centaine d’ingénieurs sur le projet qu’ils nomment en interne GOME, pour Get Off My Earth*. « Envoyer une Tesla dans l’espace c’était pour le fun, mais là, avec Marine Le Pen, c’est du lourd » nous confie-t-il alors que nous le suivons au pas de course dans les couloirs de son centre d’essais. Tandis que nous passons devant une équipe d’ingénieurs affairés autour d’un gigantesque ordinateur, celui-ci poursuit : « Nous avons investi dans ce supercalculateur, une acquisition de plusieurs milliards de dollars, quand on gère ce genre de projets, la chance n’a pas sa place ».

Des motivations humanistes et environnementales.

Interrogé sur ses motivations et les raisons de son engagement, le patron multimilliardaire se montre clair : « Avec Tesla, Space X et l’hyperloop, je suis arrivé au bout de ce que j’escomptais en tant qu’entrepreneur. Je ressens maintenant le besoin de m’engager sur un projet à caractère humaniste et environnemental. Il est temps de mettre en place une véritable politique de lutte contre la pollution, j’espère que la réussite de ce projet en sera l’élément déclencheur au niveau mondial. Nos premiers essais, avec Christine Boutin et Nadine Morano se sont montrés très concluants, aussi nous fondons de grands espoirs avec Marine Le Pen ».
Lorsque nous évoquons Donald Trump, il ne peut s’empêcher de sourire. « Bien sûr que j’y ai pensé, mais pour mener à bien un projet d’une telle envergure, une large coalition internationale est plus que nécessaire ». L’invitation est donc lancée, et nul doute qu’elle saura trouver un écho favorable, partout où les problématiques environnementales se font prépondérantes.



* Dégage de ma terre – note de la rédaction
 
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Donald
le 23/08/2018
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je me disais bien aussi avoir vu deux gros trucs tourner en orbite autour de la terre. Ils m'ont pas cru à la gendarmerie quand je leur ai dit que ça ressemblait à Boutin et Morano. Ils m'ont même demandé si je ne m'appelais pas Sylvain :))))))))))







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Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
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La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

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